Juan au Puy de Dôme
Finalement et tristement personne pour m’accompagner au Mythique PUY DE DÔME. Mais comme je ne suis pas homme à renoncer; Z’y va tout seul !
Tout de même bizarre cette gare au pied du Mithyque et encore plus bizarre l’arrivée au sommet façon métro parisien bondé.
Le temps à peine de saluer Luis Rodriguez qui bossait je me jette en l’air alors que deux grappes sont déjà parties. 12h50.
Ça sort bien à 2000 et même si ça décale un peu S/E à faire couiner mon Syride qui me dit que je percute une TMA, même pas mal ! Je suis plus préoccupé par ce ciel, sur ma route, qui s’est construit, genre duplex, à l’Est de la chaîne des Puys alors qu’à l’ouest, mais trop loin, c’est beau.
Alors ce duplex ! Apparition des nuelles à 1500/1600 et obligé d’enrouler dedans jusqu’au deuxième plaf, 2350, presque à l’aveugle. Sinon je n’aurais pas fait la moitié du peu que j’ai fait.
Ensuite arrivée des Cirrus, étalement des cums qui ont eu tout le long un genre mal coiffé, mal réveillé. Photos à venir, ordinateur en panne.
Deux point bas, dont un très bas, éminence coiffée d’un téton que j’ai failli mordiller. Mais au final ça ne monte plus, 1200. Je finis à Segonsac avec un indigène ayant décollé au St Sandoux et qui n’a jamais dépassé 1700. On rentre en stop. La 3e voiture me dépose place de Jaude, puis bus à Royat, et en 2 voitures au Parking du métro bucolique. 5 voitures et un bus. Correct !
Le vol, un petit 50. Plaf 2350. Vario max 6,4 violent. Juan garde toi à droite ! Juan garde toi à gauche ! Ça a claqué et résonné dans les caissons de la Zeno.
Au final, je ne regrette pas, cette petite escapade qui m’a fait un bien fou.
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